S’il est une assurance qu’il est difficile d’aborder, c’est bien l’assurance décès.
Il est évidemment impossible d’assurer les conséquences émotionnelles de son départ vers un monde meilleur, mais bien les conséquences financières.
Celles-ci peuvent être réparties en plusieurs catégories
- L’organisation de la commémoration
Il s’agit d’un des moments les plus difficiles à gérer, se faire aider par des professionnels permet de ne pas rajouter l’angoisse liée à l’organisation à la détresse émotionnelle du moment.
- Le remboursement des engagements financiers
Si la majorité des acquisitions immobilières sont assurées totalement ou partiellement ; ce n’est que très rarement le cas des autres engagements financiers, tels que
- Les voitures
- L’acquisition de biens mobiliers : TV, machines à lessiver, mobilier
- Cautions : au cours de sa vie on peut se porter caution ou garant personnel pour d’autres personnes (enfants, parents, partenaires, amis, …) ou pour sa société
- Les droits de succession
Les 2 certitudes en Belgique sont d’une part de mourir et d’autre part de payer des impôts. Les droits de succession en sont malheureusement la parfaite et assez chère illustration.
- Le maintien du niveau de vie
Au moment du décès d’un des partenaires, le survivant se retrouve seul à devoir faire face à la majorité des frais du ménage avec la moitié des revenus : entretien du bien familial, études des enfants, frais pour permettre aux enfants de continuer à vivre malgré le décès d’un des parents.
Un des plus beaux cadeaux à léguer, n’est-il pas la quiétude financière ?